La première édition de La désinformation autour de l’immigration, parue en 2009, a déjà connu – compte tenu de son succès – cinq rééditions depuis cette date ! Depuis, la situation décrite et analysée dans cet ouvrage n’a fait que s’aggraver.
D’où cette nouvelle édition largement complétée, augmentée, actualisée. Dans la première édition, Arnaud Raffard de Brienne, ne souhaitant pas pécher contre l’espérance, se demandait si, face à cette menaçante subversion migratoire, la France pourrait trouver une réponse. La vérité oblige à dire que nous en sommes encore loin.
Préfacier de cette nouvelle édition, Pierre Milloz, à qui rien de ce dramatique sujet n’est étranger, veut lui aussi ne pas désespérer : « Si l’on s’en tient à une froide analyse de la situation présente, on n’est certes pas porté à l’optimisme. Pourtant, le sentiment national, l’attachement à la patrie sont si répandus, si étroitement liés à la nature humaine qu’il faut croire qu’ils retrouveront leur force en France et susciteront un sursaut des Français. »
Acceptons-en l’augure. N’empêche… En 2009, Arnaud Raffard de Brienne nous disait l’urgence de la situation. Aujourd’hui, il ne cache pas – et il démontre – qu’il est minuit passé Docteur Schweitzer.
Alain Sanders
Milan – Serge Boret Bokwango, membre de
la mission permanente du Congo à l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG), a publié une lettre ouverte, reproduite hier soir sur le site d’information italien Julienews, où il s’exprime sans
ménagements sur les immigrés présents en Italie du Sud – et dont le nombre, via Lampedusa, ne cesse d’augmenter.
« L’Italie du sud », écrit-il, « ne reçoit pas seulement les ordures du nord mais aussi celles de l’Afrique (les immigrés africains, marchands ambulants et mendiants dans les rues) ».
« Les Africains qu’il m’arrive de voir en Italie », poursuit le diplomate congolais, « tandis qu’ils vendent tout et n’importe quoi et qu’ils se prostituent, représentent l’ordure de l’Afrique. Ces hommes, marchands ambulants sur les plages et dans les rues des villes, ne représentent en aucun cas les Africains qui vivent en Afrique et qui se battent pour la reconstruction et le développement de leurs patries. Eu égard à cet état de fait, je me demande pourquoi l’Italie, les autres pays d’Europe et les états arabes autorisent et tolèrent la présence de ces individus sur leur propre sol national. »
Source : Le Gaulois
Lola, 21 ans, a été agressée par deux hommes. Des navetteurs ont vu mais n'ont pas réagi
SAINT-GILLES C'est un père indigné, écoeuré, scandalisé qui nous parle. "Ma fille a été violée gare du Midi. À Bruxelles. Capitale de l'Europe. En toute impunité."
C'était le 12 juin. "Ma fille revenait de Waterloo. Il était 21 h. À sa sortie de train, elle s'est dirigée vers le Bancontact." Un endroit de passage. C'est pourtant là que le drame s'est déroulé.
"En plein milieu d'une gare. Mais comment est-ce possible ?", poursuit le papa de Lola, 21 ans. "Deux hommes lui ont reproché de ne pas porter le voile. Ma fille est jolie. Elle est blonde aux yeux bleus."
Tout s'est ensuite passé très vite. "Un des agresseurs a sorti un couteau. Ma fille a été plaquée contre le mur du Bancontact. Le couteau sous la gorge, un des gars l'a violée. L'autre a regardé."
Il était 21 h. Il fait encore clair dehors et la gare est loin d'être vide. "Des gens sont passés. Ma fille est certaine d'avoir vu au moins trois personnes. Aucune ne s'est arrêtée pour la sauver."
Le viol terminé, les agresseurs sont partis, tranquilles. "C'étaient deux Nord-Africains. Ils n'avaient même pas de cagoules. Et ne me dites pas que je suis raciste parce que je vous donne leur origine ! Ma fille a été violée car elle ne portait pas de voile. Ça, c'est la réalité !"
Lola s'est rendue chez son amie. "Dois-je vous dire dans quel état elle était ?" Quelques minutes plus tard, la jeune femme était hospitalisée.
Bien évidemment, une plainte a été déposée. "Les policiers ont été très professionnels. Les vêtements ont été saisis. L'ADN a été prélevé."
Mais, hélas, les coupables courent toujours... "Suite à la mort de Joe Van Holsbeeck, on avait crié haut et fort qu'il allait y avoir plus de sécurité dans les gares. Vous avez la preuve avec ma fille que rien n'a changé. Il n'y a pas de caméra aux quatre coins de la gare du Midi qui est quand même une des gares les plus fréquentées."
Marc est amer. "Je n'en peux plus de cette Belgique où tout est permis. On laisse comme ça des zones de non-droit à des jeunes à la dérive. Ces violeurs ne voulaient qu'une seule chose : abuser de ma fille, la posséder et la dénigrer car elle n'était pas comme ils entendent que les jeunes filles soient... C'est une honte."
Source : DH.be
Ayant lu La désinformation autour de l'immigration, Jean-Marie Le Pen, dans un courrier à l'auteur, a notamment écrit :"Votre ouvrage sur la désinformation est un élément
capital pour la France". Rien moins. Le compliment est de taille, surtout lorsqu'il émane d'une personnalité aussi engagée que Jean-Marie Le Pen.
Certains lecteurs de l'ouvrage ont pourtant fait part à l'auteur de leur surprise devant le silence de certains journaux et sites pourtant occupés de défense de notre identité et du sujet de l'immigration. Questionné sur le sujet, l'auteur affirme ne pas être surpris par cette omerta qui, selon lui, trace une ligne de démarcation fiable entre les forces identitaires authentiques et celles qui gravitent autour, se contentant d'un discours convenu, proche de la vulgate et évitant soigneusement de remonter aux causes réelles de l'immigrationnisme et de ses thuriféraires.
On a même vu des librairies dites identitaires mettre en avant l'ouvrage de Zemmour - dont les propos prétendument scandaleux n'étaient pourtant que la reprise édulcorée de faits prouvés, maintes fois évoqués et publiés - tandis qu'elles occultaient celui d'Arnaud Raffard de Brienne.
La désinformation autour de l'immigration va aussi loin qu'il est possible dans la dénonciation du phénomène, bien sûr, mais aussi dans l'analyse des causes profondes de ce drame présent et à venir. Pas "d'anti-bougnoulisme" primaire mais le démontage méthodique du vocabulaire, des mensonges et trucages dont se sont servis à dessein ceux qui nous ont imposé l'immigration, car on ne le répétera jamais assez : elle nous a été imposée.
Hier, au lycée Romain Roland d’Amiens, s’est déclaré le troisième incendie volontaire depuis le début du mois de mars. Cette situation est très inquiétante.
La technique des incendies volontaires se développe et pas seulement, d’ailleurs, dans les lycées ou collèges. Les auteurs de ces incendies volontaires, lorsqu’ils sont arrêtés (c’est-à-dire très rarement), devraient être sévèrement punis pour l’exemple et, aussi, en considération des conséquences terribles qui peuvent survenir d’un incendie volontaire.
Un rapport des Renseignements généraux (RG) daté du 6 janvier 2005 dont l'objectif était d'analyser la délinquance dans les quartiers considérés comme sensibles conclut que : « parmi les meneurs, 87% ont la nationalité française, 67% sont d'origine maghrébine et 17% d'origine africaine. Les Français d'origine non immigrée représentent 9% des meneurs. »