La presse s'est faite bien discrète, à quelques exceptions près, sur les incidents graves survenus dans le quartier des Combes à Chambéry. Dommage, car il y aurait sans doute eu des images choc à présenter à nos concitoyens sur les "débordements", comme dit la presse, qui ont eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi dans ce "quartier" ("difficile" sans doute).
A proximité du quartier "populaire" (ethnique, en fait) de Chambéry-le-Haut, c'est à un vandalisme à grande échelle que se sont livrés des "Jeunes", saccageant le Pôle Emploi et brûlant plusieurs voitures.
Les pouvoirs publics se consolent comme ils peuvent en constatant qu'il n'y a eu aucun blessé et que la police a auditionné de nombreux témoins. Ouf ! on respire.
C'est RTL qui a diffusé l'information : en Languedoc-Roussillon, à Florensac précisément, une élève de sixième du collège de la ville est décédée après avoir sombré dans le coma.
Elle a été agressée à la sortie de l’établissement ce midi par le frère de l’une de ses camarades. Il s'agit probablement d'une vengeance bien que nous ne sachions pas encore grand chose sur ce drame d'aujourd'hui. Elle est entre la vie et la mort : transportée d’urgence à l’hôpital de Montpellier, elle a déjà fait deux arrêts cardiaques. L’agresseur a été identifié par les autorités, mais pas encore interpellé.
Encore un "jeune homme", comme dit la presse, a été assassiné par balles tirées d'un fusil à pompe, à Chelles en Seine-et-Marne. Il s'agirait des suites d'une querelles en pleine ville, dans la rue.
La police a mis la main sur les meurtriers mais on n'en saura malheureusement pas beaucoup plus sinon que tout ce beau monde était âgé de 24 à 27 ans et que la victime, selon la formule consacrée "était connue des services de police".
Dommage, on aurait aimé voir au moins les photos des meurtriers et de la victime et connaître leur nom. Nous avons soif d'informations...
C'est près d'un demi milliard d'euros qui vont être englouti, dans le cadre de la "rénovation urbaine", rien que pour les Mureaux. Financement par l'ANRU,
elle-même financée par l'Etat et par un véritable racket du 1% logement normalement destiné à aider les salariés à se loger.
Allez, il suffira de faire un ou deux trous de plus dans la ceinture...