Dénonçant " l'augmentation exponentielle de la criminalité: ces trois derniers mois " FO Police appelle les citoyens à manifester demain à 10H00 à Calais contre l'anarchie migratoire.
Le rassemblement, auquel sont "invités tous les citoyens", selon un communiqué de presse du SGP-FO, est prévu lundi à 10H00 à un échangeur, d'où partira une opération escargot sur la rocade Est de la ville portuaire.
Le Mouvement pour la Remigration appelle les français excédés par l'immigration-invasion à se joindre à cette manifestation avec des pancartes "REMIGRATION".
Le Mouvement pour la Remigration manifestera avec FO-Police !
Une femme d’une trentaine d’années a été victime d’un viol, ce samedi midi, à la station Fontaine-Michalon située sur la commune d’Antony. La jeune femme, tout d’abord importunée par un homme dans le train, est descendue à cette station. Son agresseur l’a suivie avant de la piéger au bout du quai et de la faire basculer en contrebas pour la violer.
Il est ensuite remonté dans une rame en direction de Massy-Palaiseau (Essonne). Rapidement alertée, la Ratp a fait stopper le train à la station suivante, Les Baconnets, où l’auteur présumé des faits, un homme de 24 ans de nationalité Roumaine et sans domicile fixe, a été interpellé alors qu’il se cachait dans un wagon.
Ce ne sont pas moins de six voitures qui ont été incendiées dans un garage à Gauchy, cinq à La Fère et deux autres à Chauny, tout comme à Villers-Cotterêts et à Château-Thierry. Difficile d'imaginer que ces incendies de voitures dans l'Aisne n'aient pas été commis en concertation.
La nuit a donc été agitée pour les pompiers du secteur de Chauny. Ce mercredi vers une heure du matin, un feu sur une Citroën ZX s’est déclaré esplanade de l’Europe à La Fère. Cet incendie s’est propagé à deux autres véhicules. Une heure et demie plus tard, une Fiat Punto a subi le même sort rue du Maréchal-Juin devant le collège.
Vers quatre heures du matin, deux voitures ont été réduites en cendres à Chauny dans la rue Léon-Blum.
A Evry dans l’Essonne, un fait divers marque les esprits par son atrocité mais également par l’étrange silence médiatique qui l’accompagne.
A la sortie du RER, une jeune fille de dix-huit ans est entrainée dans un terrain vague sous la menace d’un couteau. Pendant deux heures, elle sera violée, battue jusqu’au sang, torturée et re-violée. La victime sera ensuite repérée par un automobiliste vers 5 heures du matin qui la conduit à l’hôpital.
Les auteurs ont été interpellés et mis en examen pour viol avec «actes de barbarie». Il s’agit de mineurs âgés de … 11, 13, 15 et 17 ans dont l’un était déjà connu pour des faits de viol.
Auprès du juge, ils ont justifié leurs actes par une explication effarante:
"Toutes les Françaises sont des putes"
Cette déclaration leur a valu une implication supplémentaire pour racisme.
Pourtant, ni le jeune âge des prévenus, ni la cruauté de leur crime, ni le caractère raciste de leur défense n’a semblé suffisant pour que les médias relaient l’information. Seuls l’hebdomadaire conservateur Valeurs actuelles, le site internet Atlantico et le journal Le Parisien (sur quelques lignes) en ont fait l’écho.
Une jeune femme de moins de 20 ans est décédée après avoir été poignardée au ventre par un adolescent de 15 ans au Havre (Seine-Maritime), a-t-on appris jeudi de source policière. L’auteur présumé du coup de couteau, interpellé mercredi soir par la police sur les lieux de l’agression, était toujours en garde à vue jeudi après-midi.
Les faits se sont déroulés mercredi vers 18 h 30 à un arrêt de tramway en bordure de la zone de sécurité prioritaire du Havre. Averti d’un différend, dont l’origine est encore inconnue, entre quatre jeunes femmes âgées de 18 à 19 ans, parmi lesquelles figure sa soeur, l’adolescent arrive rapidement sur place.
Armé d’un couteau, il blesse grièvement une des jeunes femmes au ventre. Transportée dans un état critique à l’hôpital, la victime a succombé à ses blessures jeudi dans la matinée, a-t-on précisé de source policière. La soeur de l’agresseur présumé, qui a reçu de nombreux coups de pied, a également été hospitalisée, couverte d’hématomes.
Un homme de 59 ans qui a tiré, samedi dernier vers cinq heures du matin sur un cambrioleur en train de le détrousser, à Joué-sur-Erdre (Loire-Atlantique), a été mis en examen dimanche 10 août à Nantes pour homicide volontaire. Incroyable mais vrai, cet homme qui ne faisait que défendre ses biens a été placé en détention provisoire.
L'homme, vivant seul dans une maison isolée, avait été réveillé par le bruit fait par deux jeunes cambrioleur en train de lui voler du matériel. Il a alors tiré en direction des deux petites frappes, éliminant définitivement l'un des deux cambrioleurs qui ne détroussera ainsi jamais plus aucun honnête citoyen. Non seulement il doit être remis immédiatement en liberté mais son exemple devrait être mis à l'honneur par le ministre de l'intérieur.