Il y a environ sept mois, le corps de la petite Marion était
retrouvé à proximité de Nantes, dans des toilettes publiques, lardé de 40 coups de couteau et le crâne fracassé contre la cuvette des toilettes, après avoir été violée.
L'auteur de ce crime (photo ci-contre), Yannick Bothélo, une Angolais de 25 ans, déjà condamné, bien entendu, à 8 mois de prison avec sursis en 2009 et à 5 ans en 2010, se pavanait toujours en France, en toute liberté,
Si ce taré avait été abattu à l'époque, la petite Marion aurait encore la vie devant elle et un atroce chagrin aurait été épargné à sa famille et à ses proches.
Un clique d'"experts" vient de reconnaître l'assassain pénalement irresponsable, ce qui risque de le faire échapper à tout procès et le conduire tout droit dans un hôpital psychiatrique dont il ressortira dans quelques années pour accomplir quelque autre massacre.
Pour une telle bête vicieuse, il n'existe pourtant qu'une seule thérapie efficace : une balle dans la tête. Le reste n'est que bla-bla et atermoiements déplacés.